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Une Rolls Royce a conduite autonome ? Mais cela a toujours existé. Du temps des fondateurs déjà, la plupart des premiers clients avaient un chauffeur. L'avenir est peut-être qu'on donnera sa destination à une machine à commandes vocales plutôt qu'à un chauffeur, mais cela ne changera pas grand chose pour le donneur d'ordres. Dans une interview à Autocar, Torsten Müller-Otvös, le patron de Rolls Royce, indique aussi que la technologie électrique n'est pas encore assez mûre pour Rolls Royce. Et c'est vrai que si la marque avait réalisé un prototype en 2011, il reste l'épineux problème de la recharge, dont l'expérience d'utilisation (lenteur, fiabilité aléatoire, paiement complexe...) est totalement incompatible avec le standing d'une Rolls Royce. La marque anglaise pourrait par contre se lancer dans l'hybride, mais là le PDG rejette l'idée, puisqu'elle n'est qu'une étape intermédiaire avant l'électrification complète des véhicules. Ce qui à la réflexion correspond bien à l'image de la marque anglaise. Ce que propose Rolls Royce a toujours été le meilleur du luxe. Avoir la technologie la plus avant-gardiste est un autre sujet.