Mazda Vision X Coupe, la voiture miraculeuse aux émissions de CO2 négatives
Ven 31/10/2025   —   Une technologie à prouver.
 Mazda est réputé pour l'élégance de ses concepts, et ce Vision X Coupe, ne fait pas exception. Superbe, même si trop peu réaliste. Que personne n'attende une voiture de série aussi époustouflante. C'est pourtant une 4 portes. Et pas comme la dernière RX-8 avec des mini portières arrières s'ouvrant dans le mauvais sens. Les 4 portes s'ouvrent de manière parfaitement conventionnelle. Ce serait donc presqu'une voiture normale, si elle n'avait un groupe propulseur absolument unique.
Mazda est réputé pour l'élégance de ses concepts, et ce Vision X Coupe, ne fait pas exception. Superbe, même si trop peu réaliste. Que personne n'attende une voiture de série aussi époustouflante. C'est pourtant une 4 portes. Et pas comme la dernière RX-8 avec des mini portières arrières s'ouvrant dans le mauvais sens. Les 4 portes s'ouvrent de manière parfaitement conventionnelle. Ce serait donc presqu'une voiture normale, si elle n'avait un groupe propulseur absolument unique. Ce concept Mazda Vision X Coupe est d'abord une hybride rechargeable, dont le moteur thermique est un rotatif bi-rotor. La puissance totale disponible est de 510 ch, avec une autonomie en mode zéro émission (sur batterie) de 160 km. L'autonomie totale est de 800 km avec le moteur essence, et que si ce que dit Mazda est vrai, il faudra éviter de recharger la batterie, parce que lorsque le moteur essence tourne, ses émissions de CO2 sont négatives. Il y a un truc. Deux, en fait.
Ce concept Mazda Vision X Coupe est d'abord une hybride rechargeable, dont le moteur thermique est un rotatif bi-rotor. La puissance totale disponible est de 510 ch, avec une autonomie en mode zéro émission (sur batterie) de 160 km. L'autonomie totale est de 800 km avec le moteur essence, et que si ce que dit Mazda est vrai, il faudra éviter de recharger la batterie, parce que lorsque le moteur essence tourne, ses émissions de CO2 sont négatives. Il y a un truc. Deux, en fait. Le premier est que Mazda ne fait pas fonctionner son auto avec de l'essence d'origine pétrolière, mais une qui provient de la culture des algues. Cela fait des années qu'on en parle, et c'est prouvé que le potentiel est immense, mais les investissements nécessaires à développer ce biocarburant le sont encore plus. Le bilan CO2 est formidable, les émissions de CO2 sont réduites de près de 90 % par rapport à l'essence minérale.
Le premier est que Mazda ne fait pas fonctionner son auto avec de l'essence d'origine pétrolière, mais une qui provient de la culture des algues. Cela fait des années qu'on en parle, et c'est prouvé que le potentiel est immense, mais les investissements nécessaires à développer ce biocarburant le sont encore plus. Le bilan CO2 est formidable, les émissions de CO2 sont réduites de près de 90 % par rapport à l'essence minérale. Ensuite, Mazda a doté l'échappement de son auto d'un système de captage de CO2. L'éefficacité est médiocre, puisque ce n'est qu'environ un tiers des émissions qui est capté. Et il n'est pas transformé, il est stocké en bouteille, bouteille qu'il faut ensuite vider... Là où c'est possible, mais c'est nulle part en Europe. Il n'y a pas d'infrastructures. Encore qu'on peut peut-être s'en servir dans une machine à soda ? Mais si maintenant on additionne, on voit des émissions réduites de 90 % de par le carburant bio, avec le CO2 dégagé lors de la combustion absorbé par la croissance des algues, auxquels on ajoutera la réduction supplémentaire de 33 % de par la captation du CO2 à l'échappement. Et on aboutit à ce que par rapport à une voiture ordinaire fonctionnant à l'essence, cette Mazda a des émissions plus faibles de 120 %. Plus on roule, plus on fait baisser le taux de CO2 dans l'atmosphère...
Ensuite, Mazda a doté l'échappement de son auto d'un système de captage de CO2. L'éefficacité est médiocre, puisque ce n'est qu'environ un tiers des émissions qui est capté. Et il n'est pas transformé, il est stocké en bouteille, bouteille qu'il faut ensuite vider... Là où c'est possible, mais c'est nulle part en Europe. Il n'y a pas d'infrastructures. Encore qu'on peut peut-être s'en servir dans une machine à soda ? Mais si maintenant on additionne, on voit des émissions réduites de 90 % de par le carburant bio, avec le CO2 dégagé lors de la combustion absorbé par la croissance des algues, auxquels on ajoutera la réduction supplémentaire de 33 % de par la captation du CO2 à l'échappement. Et on aboutit à ce que par rapport à une voiture ordinaire fonctionnant à l'essence, cette Mazda a des émissions plus faibles de 120 %. Plus on roule, plus on fait baisser le taux de CO2 dans l'atmosphère... Tout cela est cependant de la science-fiction, puisqu'à ce jour l'essence faite à partir des algues n'est commercialisée nulle part, et que les petits dispositifs de captation du CO2 sont encore à l'état expérimental. Néanmoins, ce sont des pistes à creuser, il est bien qu'un constructeur les présente. A côté de cela, on appréciera aussi grandement qu'à la différence de la majorité qui ne montre que des écrans de plus en plus monstrueux, le tableau de bord de ce concept possède 3 compteurs ronds. Ils sont chouettes chez Mazda.
Tout cela est cependant de la science-fiction, puisqu'à ce jour l'essence faite à partir des algues n'est commercialisée nulle part, et que les petits dispositifs de captation du CO2 sont encore à l'état expérimental. Néanmoins, ce sont des pistes à creuser, il est bien qu'un constructeur les présente. A côté de cela, on appréciera aussi grandement qu'à la différence de la majorité qui ne montre que des écrans de plus en plus monstrueux, le tableau de bord de ce concept possède 3 compteurs ronds. Ils sont chouettes chez Mazda.La requête a réussi. Nombre de résultats : 1
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