Bienvenue sur MoteurNature
Pour faire vivre notre rédaction, et vous offrir le meilleur contenu, nous avons besoin que vous acceptiez les cookies de nos régies publicitaires. Nous vous en remercions par avance.
Notre rédaction n'utilise aucun cookie (des petits fichiers texte). MoteurNature est l’un des très rares sites à pouvoir s'en passer totalement. Les seuls cookies liés à la visite de notre site sont les suivants.
Cookies des régies publicitaires
Ils permettent aux régies de vous proposer des contenus proches de vos centres d’intérêt. Ils assurent le financement du site.
ON OFF
Cookies des réseaux sociaux
Ils vous permettent de partager nos articles sur les réseaux sociaux dont vous êtes membre sans formalité.
ON OFF




Profiter de tout MoteurNature

Twitter

Youtube


MoteurNature
Toute l'actualité de la voiture verte depuis 2002.

21 années d'expériences pour vous informer.

Le parlement européen soutiendrait-il Vladimir Poutine ?

Sam 22/03/2014   —   Vaudrait-il mieux boycotter le gaz russe ?
Vladimir PoutineOn sait bien que les ordres du jour parlementaires sont établis longtemps à l'avance, mais il n'empêche que le parlement européen a commis une gaffe monumentale cette semaine. Alors que la plupart des gouvernements cherchent à sanctionner la Russie pour son comportement brutal en Crimée, le parlement européen annonce un accord pour développer les carburants alternatifs, et principalement le gaz naturel. Dont on rappelle que le premier fournisseur, notamment en Europe du Nord, est la Russie. Environ un tiers du gaz consommé en Europe provient de Russie, et la moitié du gaz russe est vendu en Europe.

Quand il n'y a aucun produit manufacturé russe qui puisse intéresser les occidentaux, et que les exportations énergétiques sont la première richesse russe, on aurait grandement tort de considérer le gaz naturel avec neutralité, et non comme un moyen de pression. Même si les alternatives ne sont pas excitantes, le GPL algérien (Bouteflika, un autre champion de la démocratie !), le gaz de schiste polonais et anglais (voire américain ?), ou le pétrole iranien, on espère que l'Union Européenne va reconsidérer les relations avec son fournisseur aux manières indélicates.

Laurent J. Masson



Rubrique(s) et mot(s)-clé : hors-constructeur ; politique-transport_Europe ; GNV