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24 Heures du Mans : les Toyota étaient les plus sobres

Lun 20/06/2016   —   La victoire spirituelle.
Toyota TS050 hybride n°5 au MansLa Porsche 919 ou la Toyota TS050, il y avait une différence. La première consommait plus que la seconde. En 24 heures, la voiture allemande a eu besoin d'un ravitaillement de plus que la voiture japonaise pour parcourir la même distance. Les Toyota pouvaient faire 14 tours entre 2 ravitaillements, pas les Porsche. Les ingénieurs nippons pourront s'en féliciter. A défaut de mieux, car c'est le drame d'une course de 24 heures, qu'on peut la mener durant plus de la moitié de la course, et être en tête avec une confortable avance après 23 h 55, mais cela ne vaut plus rien si on s'arrête dans la minute qui suit. Il y a des journées noires, mais c'était vraiment la plus noire de toutes les journées noires.

Le pire étant l'horreur silencieuse et invisible de la panne électronique. On aurait préféré que le moteur explose. Qu'il y ait de grandes flammes, une grosse fumée noire bien épaisse, ou que la voiture se crashe (pilote indemne, évidemment), qu'elle fasse des tonneaux, mais tout ce qu'il y avait à voir fut le triste spectacle d'une voiture qui ralentissait, qui ralentissait et puis qui s'arrêtait mollement. Ce n'est pas la première fois que Toyota échoue de peu au Mans, mais jamais personne n'avait échoué d'aussi peu. La Toyota n°6 finit cependant à une excellente seconde place, et le monde entier aura vu les excellentes performances des nippones.


Rubrique(s) et mot(s)-clé : Toyota ; competition-manifestation